En temps normal, j’entends, hors confinement, c’est Flash Dance dans ma tête.
En quarantaine, c’est Bagdad dans ma teu-tê. Ça peut paraître fort confus de l’extérieur, même si, de vous à moi, et vous le savez, peu m’importe ce qui se passe à l’extérieur, encore moins la perception de l’extérieur. Who cares? Peu m’importe ce qui se passe à l’extérieur, both à l’extérieur de moi, et à l’extérieur de chez moi. Égocentrique ? Non, je ne vais quand même pas vous refaire l’allégorie de la coupe qui doit d’abord être pleine avant de servir ?
À plus forte raison dans ce contexte chaotique. Un chaos qui en mon sens tombe à pic. Un chaos qui a une saveur de déluge, mais un chaos que nous, et je me permettrais ici de parler au nom de l’Humanité, n’avons pas volé. Je sens profondément que ce chaos aux saveurs de déluge tombe à point nommé. Cela fera l’objet d’un nouvel article dans les jours à venir, car je ne suis pas venue pour cela aujourd’hui, mais, en attendant, laissez moi vous dire que je ne me suis jamais sentie aussi sereine, aussi en phase, autant à la bonne place, aussi confiante en l’avenir, et… aussi créative.
Oui, je n’exagère rien, c’est Flash Dance dans ma tête. Comme je vous disais, nous reviendrons sur les raisons dans un second temps, au fil d’un second article. En attendant, je le répète, c’est Flash Dance dans ma tête.
Ceux qui me connaissent, même approximativement, même de loin, savent. Ils savent. Ils savent que je suis une âme passionnée, complètement on fire, et folle amoureuse des âmes éperdument enivrées. Oui, ma passion pour ce type de créature est réelle.
Et avant d’être passionnée, mes racines sont profondément africaines ! Je suis née à Paris puis j’ai grandi en banlieue mais je suis avant tout Africaine. Peut-être que c’est de ces racines, quelque part, que je tiens cette volonté de raconter des histoires, raconter, transmettre, rassembler, du matin au soir. Peut-être que plus qu’une mission, c’est un devoir. Peut être que plus que du folklore, c’est tout simplement un outil d’enseignement et de partage.
Ceux qui me connaissent savent. Ils savent que je suis toujours en quête de sens, en quête de lumière, en quête d’énergies et de vibrations ascendantes.
Quelles sont mes sources ? Comment je me ressource ?
Ai-je besoin d’expliciter que ma principale source est La source ? Je ne pense pas, non. Ceux qui me connaissent savent. Mes autres sources sont diverses et variées, du bouquin à la conférence, en passant par les vidéos YouTube, et par les les rencontres et les échanges d’âme à âme. Ces derniers sont priceless. Ce sont mes préférés, ils sont précieux et très chers à mon coeur.
Ceux qui me connaissent savent que je suis capable et expérimentée pour organiser un débat effréné autour d’un sujet d’un thème particulièrement deep sur mon pallier avec le convive d’un de mes voisins. Et j’adore ça. Ceux qui me connaissent savent. Oui, ils savent que j’adore ça. Pourquoi ? Parce que je suis convaincue que nul ne détient la vérité. Pas même moi, même si en vrai, je vous l’accorde, j’ai toujours raison. Mais non, nul ne détient la vérité. Et quand bien même je détiendrais la vérité, ce qui n’est pas le cas, cette dernière serait impermanente. Oui, ma vérité est en perpétuelle mutation. Je la rechallenge à longueur de journée en me confrontant à celle des autres, en me frottant à celle des autres. Oui, c’est sans conteste, nous détenons tous une infime partie de la vérité du monde. Moi, cette infime partie de vérité, comme un morceau de pâte à modeler, j’aime jouer avec, lui faire prendre des formes improbables, la modeler en y ajoutant d’autres morceaux, pour finir par la redécouper, et repartir avec ce que je pense, ce que j’estime être « à moi ».
C’est à travers mes échanges substantiels et infiniment prospères que je me nourris, que je grandis, que j’avance droit vers mes goals, ma vision et mon purpose. J’ai longtemps été frustrée de ne pas pouvoir les partager, ces échanges.
Ceux qui me connaissent savent ô combien je suis obsédée par le partage. Obsédée par la tribu. Obsédée par la solidarité, la chaîne humaine. Mais à la fois, les âmes qui osent, qui ont suffisamment d’audace pour être elles, et personne d’autre. Pour être elles-mêmes. Inconditionnellement elles. Donc d’une part, cette notion de groupe qui est essentielle chez moi. De l’autre, ce principe d’unicité. Par unicité, j’entends « le fait d’être unique ». Paradoxal ? À souhait !
Oh, et puis, ceux qui me connaissent savent que je suis bavarde. Très bavarde. Mais même ceux qui me connaissent ne savent pas que je n’aime pas les longs articles. Alors, je ne devrais pas tarder à conclure.
En somme, exposer des échanges en live fait sens en mon for intérieur. En somme, faire porter des voix, des visions, des histoires, des missions de vie, dans le but de partager, toucher, inspirer, mais aussi et surtout élever les consciences. « Always for the tribe », vaille que vaille ! Mon intention ultime, est que ceux qui me connaissent, et même ceux qui ne me connaissent pas, après avoir assisté aux lives, en attendant d’autres formats, repartent avec une étincelle, une inspiration, un mot, une émotion, une vision, un nouveau morceau de vérité à greffer à la leur. Mon intention ultimissime, c’est que ceux qui me connaissent, et même ceux qui ne me connaissent pas transforment ce cadeau, et qu’aussi infime soit-il, qu’ils lui donnent vie.
Alors, voilà la raison pour laquelle les lives Instagram me sont venus en tête dans cette période de confinement qui ne fait qu’accélérer la créativité et la quête de sens. Alors voilà la raison pour laquelle je continue de travailler sur le lancement de ma marque Maison Tribale si chère à mon coeur, et que je travaille sur ce média qui est en gestation. Il est urgent que je le créé ce média à l’image de ce blog, média où l’on se parle français, média ou l’on se parle vrai. Avec des histoires qui ne contiennent pas d’édulcorants. Des histoires certifiées bio. Et moi je pense que le monde post Covid_19 il en crève. Ouais, moi je pense que la révolution il faut s’y ateler maintenant. Oui, il est urgent que je le créé ce média. Pas à pas. Lentement, mais sûrement, j’exige votre indulgence.
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